Notre pauvre planète vit des jours difficiles.
L’épidémie de coronavirus qui a d’abord touché la Chine s’étend de plus en plus et voilà qu’elle arrive à notre porte, chez nos voisins italiens.
Bon, ne paniquons pas. Souvenons-nous que, lors de la catastrophe de la centrale nucléaire de Tchernobyl, le nuage radioactif s’est arrêté juste à nos frontières de l’Est.
Le coronavirus s’arrêtera peut-être à la frontière italienne.
Toutes les précautions sont prises. Les personnes qui ont voyagé dans des régions frappées par le virus sont mises en quarantaine (d’une dizaine de jours) pour s’assurer qu’ils ne sont pas contagieux.
Et pourtant…
Pourtant le match de foot qui opposera ce soir l’olympique lyonnais à la J
uventus de Turin a été maintenu.
Des milliers de supporters italiens passent la frontière et sont accueillis en France sans aucune précaution.
Le ballon rond est-il un antivirus efficace ?
Ou bien les sommes que doit générer cet évènement sont-elles si importantes qu’elles valent bien que l’on risque de contaminer tout un pays ?
